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Mon Père! L'empire est ruiné.
Mon Père! Pourquoi nous punir?
Nous vous avons offert la foi de la cité
D'où viendrait le salut si Rome vient à périr?
La ville est infectée par les mœurs d'Orient
N'aurions-nous pas dû, nié le dogme d'antan?
Brûler ces hérésies, en ce monde ici-bas
De la peste arienne jusqu'au vil Apostât
Constantinople, Constantinople
Cité de Dieu
En ce soir prend dont les armes
Contre les impies, les païens, les barbares, les hérétiques.
Nouvelle Rome, Constantinople
Ce soir reprend tes droits
Cité de l'Homme, Constantinople
Purifie ton empire
Les odieuses coutumes sont toujours d'usages
Ils se disent du Christ, mais pèchent mortellement
Ils festoient sans vergogne, prenant femmes de tout âges.
Le jour, sont ascètes, les nuits sont amants
Les hommes ne sont plus, dans les rues d'Antioche
Avilis comme des femmes, ne craignant pas l'Empereur
Ni même le tout puissant, qui les fit de la roche
En trompant son image, ils nient leur créateur.
Par-delà nos frontières, non loin de la baltique
Hors de la protection, du fils et du père
Le tentateur sévi, dans les terres désertiques
Les berbères et bédouins, les peuplades sans terre
Par le biais du démon, adviendra très bientôt
Une croyance nouvelle, d'adorateurs d'une loi
Une entité prônant un dogme de renouveau
En commandant au sien, de massacrer pour leur foi
Chevauchant nuit et jours, Semant mort et chaos
Pillant nos Églises, sacrifiant tout fidèle
Tout opposant sera, égorgé tel un veau
Tel le frelon sauvage, qui tuera pour notre miel
Seigneur, toi qui nous a, préservé des empereurs
Du paganisme solaire, de Néron à Julien
Par la force de l'esprit, nous avons croit sans peur
Nous te demandons grâce, veille sur le monde romain
Fait en ce monde ta cité
Condamne nos tristes mœurs et nos mauvais rois
Que sera ton royaume /si Rome vient à périr?
Rome vient à périr!
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Souviens-toi Karbala
De nos frères massacrés
Souviens-toi d’Al Hussein
L’Imam sacrifié
L’insulte des ancêtres perpétués en notre sang
Le puissant pour témoin, maudira pour mille ans
Mu’âwiya et ses fils, tous ces usurpateurs
Qui conduise l’Oumma, contre son propre seigneur.
Fidèle à celui, couvert de poussière
Nous sommes les fidèles du fils du prophète
Reniant le califat, quittant nos maisons
Nous fuyons pour nos vies, nous quittons la Mekke
Pour soutenir nos frères, joignant l’opposition
Contre l’Omeyyade, qui le tienne en échec
Reniant le califat, quittant nos maisons
Nous fuyons pour nos vies, nous quittons la Mekke
Mais proche de Basrah s’arrête notre Jihad
Nous ne sommes pas cent face à cette légion
Les armées du sultan, les troupes Omeyyades
Face à nous s’étendent, plus loin que l’horizon
Souviens-toi Karbala
De nos frères massacrés
Souviens-toi d’Al Hussein
L’Imam sacrifié
Le sang du prophète
L’Imam humilié
En cette terre sainte, qu’Allah soit témoin
D’aucuns n’oubliera notre foi notre bravoure
L’innommable crime de ces chiens de bédouin
Clivera et brisera nos croyances pour toujours
Souviens-toi d’Al Hussein
Souviens-toi Karbala
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La ligné des rois francs est béni en son sein
Je vous narre aujourd’hui, l’histoire du roi saint
Le roi défend --- l’affront contre la sainte terre
Et pris – les armes – luttant pour les Cieux
le Christ sauveur, la - cité - de - Dieu
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Rome appelle à la guerre
Les Francs-libèreront
Le tombeau du père !
Les royaumes Anglois, la vielle Austrasie
Sous les ordres du Roi se rejoignent à saint Denis
Les comptes de Bourgognes, le duché de Normandie
Sur la mer romaine prenne la route du midi
Et en voyant Jérusalem
Chevaliers francs ton âme est en peine
Nous partons au bout du monde
Sauver le temple du Christ-Roi
En luttant contre la peste immonde
Nous les brulerons tel les Albigeois
Et en pleurant Jérusalem
Soldat chrétien déverse ainsi ta haine
L’oppression des mécréants
À fait choir l’Empire
Sous le joug (des) musulmans
L'Orient chrétien expire
Rome appelle à la guerre
Les templiers reprendront
Saint Jean d’Acre et ses terres
Les royaumes Anglois, la vielle Austrasie
Prennent les armes et joignent le Roi Louis
Les comptes de Bourgognes, le duché de Normandie
Sur les plages d’Antioche batailleront pour leurs vies
Deux milles cavaliers - des centaines de navire
Bientôt repoussé - par la horde du Vizir
La cité de Dieu
Rome appelle au massacre
Soldat chrétien
Dans le sang à saint jean d'Acre
La mort t'attend
Eloigne de moi cette coupe
Et nos hommes
Nos enfants
Pleurent ensemble le roi saint
Notre défaite est immense
Notre honte est sans fin
Ces êtres vils et immondes
Souillent à jamais
Le temple divin
Jérusalem
O Jérusalem
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